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12 septembre 2008 5 12 /09 /septembre /2008 15:32
Cet article est un "Spécial Marjoliemaman", qui passe à l'étape ô combien exaltante de la diversification de son Kouign Amann. Passées les traditionnelles purées de carottes ou de courgettes, on se dit que ce serait pas une mauvaise chose de lui faire goûter autre chose que le traditionnel jambon-petits pois des petits pots du commerce (même s'ils sont diététiquement corrects, super surveillés etc, on est d'accord, mais franchement, vous avez déjà goûté, vous?!!), car le secret pour faire de bébé un fin gourmet, c'est tout de même de varier les saveurs. Bon, c'est aussi un piège, car mes enfants ont toujours refusé les petits pots du commerce, ce qui est parfois embêtant en vacances. Mais je peux me vanter qu'ils mangent vraiment de tout aujourd'hui, et que c'est la fête quand c'est "fait maison".

A la naissance de la Fée, je suis tombée sur ma bible de la cuisine pour enfants. Ca s'appelle "Cuisinez pour vos enfants", de Annabel Karmel. A l'époque ça ressemblait à ça:

Mais après une petite recherche sur Amazon.fr, ça ressemble maintenant à ça, et ça coûte 20,90 euros.

Plein de trucs, d'astuces, d'idées de petits plats de 4 mois à 5 ans, des infos diététiques mais aussi avec des recettes de douceurs diététiquement correctes, des idées de présentation fun, bref tout ce qu'il faut, vraiment. Je l'offre régulièrement en cadeau de naissance. Les recettes sont évidemment réalisables dans un Babycook si on a un peu d'imagination.

Et si on a envie de congeler, et pas forcément envie d'investir dans une batterie de pots Beaba, pourquoi ne pas récupérer les petits pots en verre vides d'une copine qui a opté pour cette solution (attention juste à ne pas les remplir à bord, pour laisser de la marge à la dilatation), et ainsi les fournir à la nounou (c'est du vécu, hein Tata, la livraison froide du lundi matin!). 

Pour vous donner une idée, voici la recette phare des bébés Papadoums (à partir de 6 mois), plébiscitée aussi par les parents par l'odeur alléchés:

Poisson aux carottes et à l'orange

-175 g de carottes
-125 g de pommes de terre
-175 g de filet de carrelet (ou autre, le loup de mer va très bien)
-le jus de 1 orange
-60 g de fromage râpé
-1 noix de beurre

Faire cuire les légumes à l'eau ou à la vapeur jusqu'à ce qu'ils soient bien tendres. Egoutter.
Mettre le filet de poisson dans un plat à four, verser le jus d'orange, répartir le fromage et le beurre en surface, couvrir et faire cuire 3 minutes au micro-ondes.
Mixer les légumes avec le poisson et son jus.

Variante Babycook
: Cuire les légumes et le poisson au Babycook. Jeter le jus de cuisson (par précaution, en garder un peu si la purée est trop épaisse), mixer avec le jus d'orange, le fromage râpé et le beurre.

Mhmmm vivement que je puisse en refaire!
Bon appétit les bébés!

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4 septembre 2008 4 04 /09 /septembre /2008 16:01


Chouette, un gâteau à la purée!!!

Meuh non, enfin, il s'agit d'une base de gâteau à garnir, aussi légère que la mousseline (vu que pas de matière grasse), le tissu, pas la purée, purée!

Voici les proportions de base pour un gâteau rond standard (26 cm de diamètre, 5cm de haut), à multiplier autant de fois qu'il faut suivant la taille voulue de votre gâteau. Il m'arrive d'en fair deux ronds et de les superposer. Pour celui de la photo, j'ai multiplié par quatre, pour 20 personnes (j'ai préparé la pâte en deux fois pour assurer quand même, mais cuit en une fois).

-4 oeufs
-25 g de sucre semoule
-100 g de sucre glace
-65g de farine à levure intégrée
-65g de farine de maïs (maïzena)

Battre le mélange des 2 sucres avec 2 oeufs entiers et 2 jaunes jusqu'à ce qu'il blanchisse. Ajouter le mélange des farines, puis les 2 blancs battus en neige. Mettre dans un moule beurré et fariné, enfourner pour 35 minutes dans un four préchauffé à 180 degrés.

Les trucs: on démoule de suite, on laisse refroidir. On coupe en deux (ou trois) dans le sens de la hauteur, et on garnit avec ce qu'on veut. La pâte absorbe bien les garnitures assez liquides, surtout à l'intérieur, moins sur le dessus évidemment. Mais rien n'empêche de couper le dôme du dessus pour obtenir un gâteau parfaitement plat et bien absorbant.

Celui de la photo est garni à l'intérieur avec de la confiture ananas-oranges, sur le dessus avec des ananas (en boîte), des oranges confites, et nappé avec un nappage pour tartes préparé avec le jus des ananas. Mais je l'ai souvent fait aux fraises, framboises ou chocolat.


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23 août 2008 6 23 /08 /août /2008 13:41
Vous allez enfin tout savoir. Pourquoi, et surtout comment, la gastronomie (!) belge surpasse la gastronomie française en ce point précis et délicat, j'ai nommé les frites. Pour le reste, je m'incline. Mais pour les frites, non.

Alors vous savez que je suis une fille moderne et fort occupée, donc je vous passerai l'histoire de graisse de boeuf, ou de saindoux, non non, une bonne huile végétale, ça marche aussi.

D'abord, et c'est pas évident, il faut choisir les bonnes pommes de terre. L'idéal, des bintjes. Pour les Français, bintje se prononce bi-nnttche, et pas Binche, là c'est le carnaval, et les Gilles y jettent des oranges, pas des patates, faut pas confondre,
hé, patates.

Gilles de Binche en plein carnaval

Bref des bintjes. Je sais, c'est difficile à trouver en France, donc au pire, des pommes de terre "spécial frites", bien grandes et bien grosses. Les peler, les découper en frites épaisses, et les essuyer dans un torchon* propre (au cas où il faut préciser), à rincer immédiatement après sinon l'amidon laisse de vilaines traces noires (z'avez vu comme je suis gentille, hein, de sauver le torchon que Belle-Maman vous a offert pour votre dernier anniversaire!). Blague à part, cette étape est hyper importante, sinon l'eau refroidit l'huile et vous aurez des frites molles. Et les frites molles, ah non!

Pendant que vous vous occupez des pommes de terre, faites chauffer votre friteuse à 160°. Ici intervient la question du matériel, parce qu'on ne rigole pas avec les frites. L'idéal, c'est une friteuse à zone froide, totalement démontable et en inox pour la passer au lave-vaisselle sinon ça devient vite cra-cra. Moi j'ai la Rolls des friteuses belges, une Frifri (et personne ne rit, là au fond!), double cuve (une petite pour les beignets et autres trucs sympatoches mais parfumés, et une grande pour les frites, mais bon, là c'est vraiment du luxe. Merci BarbaLala). La zone froide, c'est pour que les inévitables petits morceaux restent au fond et ne polluent pas la fournée suivante. (Hum, vous n'oubliez pas non plus de changer l'huile de temps en temps, hein...)

Se trouve apparemment sur amaz*n.fr, pas hors de prix. Surtout vous oubliez tous les machins à couvercle filtrant, ça vous fait des frites molles. Et les frites molles, ah non! Des frites, ça sent, ça se fait devant la fenêtre ou dehors, épicétou. Et aussi les machins en plastique, avec soit-disant une cuve en teflon, impossible à nettoyer vraiment à fond.

Bref donc on papote, mais vos frites sont crues et votre huile à 160°. Vous les plongez dedans par petites quantités environ 5 minutes (suivant la grosseur des frites), pour qu'elles cuisent de l'intérieur, mais surtout qu'elles ne dorent pas. Quand toutes vos frites sont précuites, vous mettez votre thermostat à 180°. Et là, juste avant de servir, vous repassez vos frites une minute ou deux, pour obtenir le croustillant et le doré qui conviennent à de vraies frites belges. C'est pas compliqué quand-même!

Ceux qui les aiment légèrement salées ont le droit. Ceux qui veulent les manger avec les doigts, trempées dans une bonne mayonnaise (au point calorique où on en est, de toutes façons...), aussi. Mais soyons clairs: les frites au ketchup, c'est un crime. Ca vous fait des frites molles (et sucrées). Et les frites molles, ah non!


* Pour les Belges, vous aurez évidemment compris qu'il s'agit d'un essuie, sinon j'aurais écrit serpillère (en même temps les Belges savent faire des frites ;o))




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13 août 2008 3 13 /08 /août /2008 08:52
Je sais pas chez vous, mais ici, le thermomètre penche dangereusement vers le seuil intolérable pour un mois d'août, c'est à dire 20 degrés. On commence à se dire qu'on va faire un petit feu dans la cheminée, on range les sandales et on ressort les chaussettes (parce que NON, je ne porte pas de chaussettes avec des sandales. Je vis à la campagne, mais tout de même!)

Bref mon cerveau culinaire se met en mode automne ces jours-ci. On a mangé une raclette l'autre soir, avec du fromage rapporté de la montagne par roues entières, et congelé en tranches prêtes à servir. Et hier soir j'ai fait une crème de poireaux, simplissime et miamesque. On continue donc dans la bonne vieille cuisine de tous les jours, rapide et sans se prendre la tête.

J'y ai mis:
-beurre
-1 oignon
-2 càs de farine
-1,2 litre d'eau bouillante
-2 cubes de bouillon de boeuf
-500 g de poireaux congelés
-un trait de crème fraîche
-sel, poivre

Faire blondir l'oignon dans le beurre, puis, hors du feu, ajouter la farine et mélanger. Ajouter aussitôt l'eau bouillante, remettre sur le feu, mélanger au fouet pour dissoudre les grumeaux de farine et ajouter les poireaux, les cubes de bouillon et laisser cuire le tout un quart d'heure. Mixer soigneusement, ajouter la crème et assaisonner. Servir avec des croûtons de pain.

Astuce ++: peut aussi se servir froid en verrines lors d'un apéritif, avec une pointe de Boursin au poivre dessus, c'est original et délicieux!


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12 août 2008 2 12 /08 /août /2008 15:18


Ce week-end, je suis allée à la maraude. D'abord je suis allée cueillir des reine-claude chez des voisins qui sont partis en vacances. Comme les oiseaux étaient un peu passés avant moi, j'ai décidé d'en faire une compote. Avec ça, il me fallait un petit gâteau acidulé, alors je suis allée marauder une recette de madeleines miel-citron chez Miss Cz, qui tombait à point. Je n'ai bien sûr pas pu m'empêcher de la transformer un peu pour qu'elle s'assortisse au mieux à ma compote très sucrée, mais la recette originale se trouve chez la Miss.

Ca vous tente? C'est parti.

Pour la compote:
-6 reine-claudes bien mûres
-2 cuillères à soupe de sucre brun

Peler et couper les fruits en morceaux dans un plat (sans les noyaux, of course), les faire macérer une heure dans le sucre. Ensuite les faire cuire 7 minutes au micro-ondes. Mixer. Pour la touche chaud-froid de la recette, j'ai ensuite congelé la compote dans un bac à glaçons jusqu'au moment de servir (comme c'est très sucré, ça ne gèle pas complètement, mais ça donne une jolie forme pour le service, et ça rafraîchit).


Pour les petits gâteaux:
-4 oeufs
-200 g de farine avec levure intégrée
-100 g de maizena
-150 g de beurre
-100 g de miel
-100 g de sucre
-2 citrons

Mélanger les oeufs avec le sucre, ajouter le beurre et le miel fondus, la farine, la maizena, le jus des 2 citrons. Faire goûter un Pirate au hasard:

Ca a l'air bon. Mettre au frigo pour quelques heures avant de cuire. 
Plus les moules sont petits, moins longtemps il faut cuire les gâteaux. Dans mon cas, un moule silicone à tartelettes de 8 cm de diamètre.
Le mieux étant de surveiller la cuisson de près. Enfourner dans le four préchauffé à 225° pour 5 minutes, le temps que les gâteaux gonflent, puis réduire la température à 180° pour encore 10 minutes, jusqu'à ce qu'ils prennent une jolie couleur dorée.

Dresser sur l'assiette un petit gâteau tiède, quelques glaçons de compote, et un trait de coulis de framboises pour la couleur (quelques framboises fraîches ce serait encore mieux, mais dans les jardins des voisins en vacances, la saison est passée).






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11 août 2008 1 11 /08 /août /2008 15:00
Spéciale dédicace à Grand-Mère qui me réclame la recette (simplissime), et à Tata Anne qui a mangé des légumes pour la première fois de sa vie hier (et je crois même qu'elle a apprécié).


Pour 4 personnes, prévoir à peu près:

-3 petites courgettes (ou une grosse du jardin)
-3 oeufs
-une briquette de crème fraîche
-150 g de fromage râpé
-un peu de lait
-sel, poivre, noix de muscade

Couper les courgettes en dés et les précuire 6-7 minutes dans un plat couvert au micro-ondes avec un peu de sel. Egoutter et disposer dans un plat allant au four. Pendant ce temps, dans un grand bol, mélanger les oeufs en omelette avec la crème, assaisonner. Ajouter le fromage râpé. Compléter avec le lait pour obtenir assez de liquide pour couvrir pratiquement les courgettes. Verser dans le plat à gratin sur les courgettes, mélanger pour faire descendre le fromage (ou opérer en plusiseurs couches) entre les dés de courgettes. Enfourner à 180° à mi-hauteur pour 30 minutes, juste le temps de prendre l'apéro.

Idéal en accompagnement, mais aussi en entrée: en ramequins individuels ou découpé à l'emporte pièce. Rien n'empêche d'y ajouter un peu de jambon cru ou cuit pour en faire un plat complet (sauf BarbaLala qui va crier que je dénature la recette originale, ce qui est soi dit en passant ma spécialité).







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7 août 2008 4 07 /08 /août /2008 17:07

Y a un truc dans la vie quotidienne qui m'énerve à coup sûr, c'est quand je vois écrit sur un paquet de n'importe quoi: "Ouverture facile". Mon oeil. Avec en plus l'insolence de me mettre une petite flèche, des fois que je serais tellement nulle que je voudrais ouvrir dans le sens de la fermeture. Oui je sais, c'est génétique, les robinets j'essaie toujours de les ouvrir dans le mauvais sens, résultat je dois appeler BarbaLala pour qu'il me débloque d'un frémissement de biceps cette saloperie de robinet qui ne veut pas pisser une goutte. Dans la douche c'est mieux: si je tourne dans le mauvais sens, ce sont les jets massants qui se branchent. Au cas où je passais par là juste pour remplir un seau pour nettoyer la salle de bains, j'ai pris ma douche toute habillée à tous les coups. Et je vous jure que ça m'arrive régulièrement, chaussures comprises. Qu'est-ce qu'on ne fait pas pour faire marrer ses gosses. Mais là je m'égare.

Ouverture facile donc. Mon oeil, oui. Suffit que je lise ça pour savoir que je vais en baver. Dans le meilleur des cas, je prends un couteau ou une paire de ciseaux, et j'achève l'objet sans remords. Mais il y a des fois où je suis un peu têtue, et je me dis que c'est pas un fabricant de jambon sous cellophane qui va me gâcher la journée et surtout mon gratin de macaroni avec ses idioties. Sauf que. J'ai beau avoir une longueur raisonnable d'ongles, pas rongés, pas frenchmanucurés, je trouve jamais le truc à empoigner pour "tirer ici" justement. Pis ça glisse. Pis ma béchamel crâme. Pis du coup qui c'est qu'a piqué les ciseaux? Pis pourquoi que je suis pas mariée à Edward aux mains d'argents d'abord? Bref. Je finis par ouvrir le paquet de jambon à coups de ciseaux crantés piqués à la Fée, vous savez ces ciseaux qui font des frises. Du coup j'en profite pour découper le jambon avec des frises aussi, c'est plus joli. Et ça me calme. Avant de passer à l'étape suivante.

Parce que dans les macaroni, il y a aussi l'épreuve suprême de l'ouverture du paquet de fromage râpé. Le plus vicieux. Je le sens d'avance arriver, celui-là. Déjà, à côté d'ouverture facile, il est écrit "sachet refermable". En admettant qu'une cruche lambda comme moi ait résisté à saisir les ciseaux, crantés ou non, pour ouvrir le sachet, parce que sinon, ah ben désolée, mais le sachet n'est plus du tout refermable, vu que j'ai aussi fait des frises sur le truc subtil supposé refermer le sachet ensuite. Ou en admettant qu'une cruche lambda comme moi ait passé avec succès l'épreuve de l'ouverture facile (en choeur: mon oeil!) sans détériorer le truc bidule machin sur lequel il faut appuyer pour que ça se referme. Parce que moi, désolée, fermer ou ouvrir, je sais pas faire.

En attendant, dernière découverte sur laquelle des tas d'ingénieurs très cher payés de l'heure (normal, c'est du frometon Pr*sident) ont planché depuis des mois, et c'est aussi écrit en gros sur le paquet: "Nouveau! Ce sachet tient debout tout seul!". Avec notice explicative pour comment qu'une cruche lambda comme moi puisse comprendre la subtilité de la chose. Ce que j'espère juste, c'est que quand le gars il rentre à la maison et qu'il dit à sa femme: "Chérie, j'ai inventé le paquet de frometon râpé qui tient tout seul aujourd'hui", elle lui met une bonne tarte de ma part en lui disant que la prochaine fois, il ferait mieux d'inventer un paquet qui s'ouvre vraiment facilement, et que si c'est pour ça qu'il fait des heures sup', il peut le manger sans frometon, son gratin de macaroni. Parce que c'est vrai, quoi, à quoi ça me sert un paquet qui tient tout seul mais qui s'ouvre pas, hein?

Mais là je suis défaitiste, voire carrément négative. Parce que faut pas croire que c'est un paquet de frometon qui va me gâcher la journée (déjà que ça fait 15 minutes que j'en parle). Parce que j'ai des gosses à nourrir, moi. Et que je finis toujours par avoir le dessus sur cette saleté de truc. En en mettant partout. Ben oui. En été, c'est particulièrement rigolo, vu que je cuisine en tongs, après j'en ai entre les orteils.

Mais faut pas s'acharner comme ça sur  le frometon. Y a aussi le riz qu'est super drôle, les spaghetti, les lentilles, les paquets de biscuits qui sont toujours tous cassés avant que je n'arrive à les ouvrir, les cornichons qui m'arrosent à tous les coups la table, la confiture,... Tiens à ce propos quelqu'un peut me dire pourquoi je n'ai jamais aucun souci avec le pot de Nutnut ou les paquets de chocolat?


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3 août 2008 7 03 /08 /août /2008 20:59
C'est dimanche, et même si on est rentrés tard (rapport à l'invitation de Manu), la grasse matinée, c'est dans une autre vie (rapport au fait que le Pirate, il a pas que ça à faire de dormir le matin, faudra attendre qu'il soit ado pour être un peu tranquilles sous la couette le dimanche matin). Donc on a plein de temps pour se préparer un super petit déj du dimanche, avec, je vous le donne en mille, un smoothie pomme-poire (comment, y'a pas d'suspense?)

Bref.
-2 pommes
-2 poires
-1 yaourt nature
-sucre
-lait pour allonger
-n'importe quoi de coloré pour décorer (moi j'ai mis du sucre coloré), histoire de se réveiller les yeux aussi, pour surtout pas louper les bêtises que le Pirate aurait l'idée de faire en profitant que ses parents ont la tête dans le sac.



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29 juillet 2008 2 29 /07 /juillet /2008 18:08
D'habitude, BarbaLala et les tendances de la hype, ils entendent même pas parler l'un de l'autre. Ou bien si, mais il s'en tapent le coin de la nouille. Mais là, quand BarbaLala a dit à Mamounette l'autre jour "tiens, t'essaierais pas de me faire un smouffie?", passé le choc, Mamounette a fait l'inventaire de sa corbeille à fruits et mijoté une recette pour le lendemain matin.

Ca donne, pour deux personnes

-3 abricots
-1 pêche jaune
-1 yaourt aromatisé coco
-du lait
-un sachet de sucre vanillé

Le tout bien frais évidemment. Mixer le tout, allonger avec le lait pour obtenir la consistance souhaitée, déguster tout de suite. Et voilà comment un petit déjeuner tout bête devient top tendance: en lui donnant un nom anglais...




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26 juillet 2008 6 26 /07 /juillet /2008 15:00
Yaourts maison bien sûr. Grâce à la superbe yaourtière (SEB) que BarbaLala m'a offerte pour la fête des mères, après m'avoir fait un baratin d'enfer CONTRE la dite machine (sur laquelle je lorgnais avec allusions lourdes depuis quelques temps) pour être sûr que je ne me l'achète pas moi-même la veille du jour fatidique. Il avait raison, j'ai failli. Mais faut jamais s'acheter quoi que ce soit la veille de Noël, de son anniversaire ou de la fête des mères.

Dans ma yaourtière, il y a 8 pots, donc pour 8 pots il vous faut

-4 gros abricots bien mûrs
-2 cuillères à soupe de sucre brun
-1 yaourt nature
-2 cuillères à soupe de lait en poudre entier
-presque un litre de lait demi-écrémé

Coupez les abricots en morceaux dans un plat en verre et ajoutez une cuillère à soupe de sucre brun. Faites cuire 5 minutes au micro-ondes pour obtenir une petite compote. Versez cette compote dans le bol du mixeur, ajoutez les autres ingrédients, complétez avec le lait pour obtenir 1200 ml de préparation.

Trouvez un Pirate pour tremper ses doigts dedans et vous confirmer que c'est déjà très bon comme ça.

Versez dans les pots, branchez la yaourtière, patientez 8 heures, couvrez les pots et mettez les au frigo minimum 2 heures avant de déguster.
 Couverts enfants Pylones


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  • : Les Tribulations de la Famille Papadoum
  • : La vie à la campagne, c'est pas toujours de tout repos. Chez les Papadoums, il se passe toujours quelque chose.
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