4 octobre 2009
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... sont pas là pour me serrer la pince.
Le dimanche matin, BarbaLala s'en va jouer de la clarinette. Avant, avec les Petits Papadoums, on allait soit à la pistache (à trente kilomètres d'ici, pour rappel), soit faire du vélo/roller sur les bords de la Moselle.
Bon, on a ramolli de la fesse, puisqu'il est assez peu probable qu'on soit dans NOTRE piscine à l'heure où je vous parle.
Ca c'est pour quand on aura repris de bonnes habitudes, vers 2034, en gros.
Le coup de la Moselle, ça craint un peu aussi, parce que 2 vélos + une méga poussette + rollers dans ma Japonaise, ça me fatigue d'avance, surtout quand c'est l'heure de la sieste de la miss. Quoique, rien que de l'écrire, j'en ai envie, c'est malin. Bon, c'est aussi à trente kilomètres de la maison, hein, rien n'est parfait en ce bas monde. Pis faut se dire que c'est le dernier dimanche de beau temps avant... hou, tout ça au moins. Et que si je sors pas la marmaille, j'ai pas d'excuse valable pour que le repassage et un bon repas de dimanche des familles ne soient pas faits. Et avec un peu de chance je vous ramène des zolies photos.
Comment que je me motive, moi.
(Tout le monde aura compris qu'il est samedi soir taaaaard à l'heure où j'écris, pour les curieuses qui lancent des ersatz de tags et qui veulent savoir comment on blogue: n'importe quand, n'importe où, c'est à dire quand je peux aligner trois pensées digressives sans être interrompue parce que je ne m'y retrouverais même pas moi-même, quand mon esprit peut vagabonder à son aise sur un fil vaguement directeur, et toujours en live sur OB, quand j'en ai envie, quand j'en ai besoin, mais le plus souvent vautrée sur canaprout mit couverture en polaire blanche - c'est bon, c'est assez précis? Souvent, vu qu'il est tard quand j'accouche de mes phrases à rallonges et à tiroirs, je les programme pour le lendemain matin 7 heures, pile poil pour le ptit dej des blogaddicts... histoire peut-être d'avoir encore le temps de changer d'avis pendant la nuit? Sinon, des idées, j'en ai cent douze mille par jour, que je ne note pas, et j'en oublie à peu près cent onze mille neuf cent quatre-vingt dix, je me rappelle d'une dizaine, et j'ai le temps d'en écrire une demi, voire moins...)
Comment je me mets pas dans le caca.
Parce que je vous connais, après vous allez vouloir tout savoir, si j'ai tenu mes promesses, toussa.
Si les vélos rentrent dans la Jap', on y pensera, hein.
(Je sais plus où sont mes rollers.)
Alors qu'en fait, je voulais juste vous montrer ça.
Ca, c'est le bonheur. Pur et simple comme quelques notes de Mozart, le soir, avant de filer au bain.
Bon, comme tout gros effort commence par un bon dodo, .... flitz, je suis plus là.
Et vous, vous faites quoi le dimanche matin?
Le dimanche matin, BarbaLala s'en va jouer de la clarinette. Avant, avec les Petits Papadoums, on allait soit à la pistache (à trente kilomètres d'ici, pour rappel), soit faire du vélo/roller sur les bords de la Moselle.
Bon, on a ramolli de la fesse, puisqu'il est assez peu probable qu'on soit dans NOTRE piscine à l'heure où je vous parle.
Ca c'est pour quand on aura repris de bonnes habitudes, vers 2034, en gros.
Le coup de la Moselle, ça craint un peu aussi, parce que 2 vélos + une méga poussette + rollers dans ma Japonaise, ça me fatigue d'avance, surtout quand c'est l'heure de la sieste de la miss. Quoique, rien que de l'écrire, j'en ai envie, c'est malin. Bon, c'est aussi à trente kilomètres de la maison, hein, rien n'est parfait en ce bas monde. Pis faut se dire que c'est le dernier dimanche de beau temps avant... hou, tout ça au moins. Et que si je sors pas la marmaille, j'ai pas d'excuse valable pour que le repassage et un bon repas de dimanche des familles ne soient pas faits. Et avec un peu de chance je vous ramène des zolies photos.
Comment que je me motive, moi.
(Tout le monde aura compris qu'il est samedi soir taaaaard à l'heure où j'écris, pour les curieuses qui lancent des ersatz de tags et qui veulent savoir comment on blogue: n'importe quand, n'importe où, c'est à dire quand je peux aligner trois pensées digressives sans être interrompue parce que je ne m'y retrouverais même pas moi-même, quand mon esprit peut vagabonder à son aise sur un fil vaguement directeur, et toujours en live sur OB, quand j'en ai envie, quand j'en ai besoin, mais le plus souvent vautrée sur canaprout mit couverture en polaire blanche - c'est bon, c'est assez précis? Souvent, vu qu'il est tard quand j'accouche de mes phrases à rallonges et à tiroirs, je les programme pour le lendemain matin 7 heures, pile poil pour le ptit dej des blogaddicts... histoire peut-être d'avoir encore le temps de changer d'avis pendant la nuit? Sinon, des idées, j'en ai cent douze mille par jour, que je ne note pas, et j'en oublie à peu près cent onze mille neuf cent quatre-vingt dix, je me rappelle d'une dizaine, et j'ai le temps d'en écrire une demi, voire moins...)
Comment je me mets pas dans le caca.
Parce que je vous connais, après vous allez vouloir tout savoir, si j'ai tenu mes promesses, toussa.
Si les vélos rentrent dans la Jap', on y pensera, hein.
(Je sais plus où sont mes rollers.)
Alors qu'en fait, je voulais juste vous montrer ça.
Ca, c'est le bonheur. Pur et simple comme quelques notes de Mozart, le soir, avant de filer au bain.
Bon, comme tout gros effort commence par un bon dodo, .... flitz, je suis plus là.
Et vous, vous faites quoi le dimanche matin?