28 septembre 2009
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07:00
Nous nous en fûmes donc, la Fée et moi, prendre le tégévé qui roule fissa de très bonne heure samedi. Pas très très longtemps après, il me fut donné de rencontrer deux êtres aussi blonds qu'adorables, rencontre que j'attendais depuis longtemps avec impatience.
Quelques heures qui ont filé comme des secondes...
Dans la vraie vie, Marjoliemaman avec petit bidon tout rond, c'est un mètre soixante d'énergie (faut la voir porter la poussette avec KA dedans dans les escaliers du métro!), de gentillesse, de tendresse, d'attention, de sourire et d'humour. Prends soin de vous, Marjo.
Un peu plus tard, je faisais la connaissance de Sandra qui avait organisé l'événement, qui au-delà de la photo officielle nous a donné une occasion en or de rnecontrer ces visages qui se cachent derrière ces blogs qu'on aime...
Puis, j'entendis un genre de cri dans mon dos: "Roxaaaaaaane!!!" Et là une espèce de tornade est entrée dans ma vie...
Kouign Amann et sa Jolie Maman
Quelques heures qui ont filé comme des secondes...
Dans la vraie vie, Marjoliemaman avec petit bidon tout rond, c'est un mètre soixante d'énergie (faut la voir porter la poussette avec KA dedans dans les escaliers du métro!), de gentillesse, de tendresse, d'attention, de sourire et d'humour. Prends soin de vous, Marjo.
Un peu plus tard, je faisais la connaissance de Sandra qui avait organisé l'événement, qui au-delà de la photo officielle nous a donné une occasion en or de rnecontrer ces visages qui se cachent derrière ces blogs qu'on aime...
Puis, j'entendis un genre de cri dans mon dos: "Roxaaaaaaane!!!" Et là une espèce de tornade est entrée dans ma vie...
Dgina, et son appareil photo
Elle parle, elle court, elle saute, elle se vautre pour prendre des photos uniques, elle se donne, elle rit, elle défie la terre entière, elle doute, elle assume, elle tempête, elle sourit, elle s'attendrit... mais reste toujours sauvage. Tu sais ce que tu as à faire dans les prochains mois, ma grande...
Après, il eut Manu, que j'ai adorée autant que son blog et qui nous a avoué officiellement avoir douze ans dans sa tête, Sonia qui sait pas lire l'heure (surtout sur les horloges des gares), Lily et sa surprise, Carole que j'apprends à connaître depuis une semaine car elle m'a envoyé sa Journée des Villes, Martine évidemment, Angelea discrète et mystérieuse, Kat et ses yeux qui pétillent (Mary, elle m'a bien fait ton message, tu peux dormir tranquille!), et puis plein d'autres dont j'ai oublié le prénom, là, comme ça, et qui me pardonneront, parce que ça me reviendra quand je verrai la photo officielle...
Il fut caqueté en bonne et due forme... et parlé des absentes, de celles qui nous manquaient et qui le savent, de celles qui nous manquaient moins et qui ne le sauront sans doute jamais...
Des timides, des extraverties, des rigolotes, des mystérieuses... de belles rencontres, touchantes, une journée riche, éblouissante.
Vers 18 heures, nous prîmes congé, le métro qui pue et le train qui roule vite. Quarante minutes de Japonaise plus tard, je mettais mon nez dans les cheveux de mon bébé-fille, je chatouillais le bidou de mon grand garçon, j'emportais le tout à la maison et hop au lit, c'est que ça fatigue, la grande vie!
(Mais vive la campagne, quand même - surtout quand elle est à 1h24 de train de la capitale)
Elle parle, elle court, elle saute, elle se vautre pour prendre des photos uniques, elle se donne, elle rit, elle défie la terre entière, elle doute, elle assume, elle tempête, elle sourit, elle s'attendrit... mais reste toujours sauvage. Tu sais ce que tu as à faire dans les prochains mois, ma grande...
Après, il eut Manu, que j'ai adorée autant que son blog et qui nous a avoué officiellement avoir douze ans dans sa tête, Sonia qui sait pas lire l'heure (surtout sur les horloges des gares), Lily et sa surprise, Carole que j'apprends à connaître depuis une semaine car elle m'a envoyé sa Journée des Villes, Martine évidemment, Angelea discrète et mystérieuse, Kat et ses yeux qui pétillent (Mary, elle m'a bien fait ton message, tu peux dormir tranquille!), et puis plein d'autres dont j'ai oublié le prénom, là, comme ça, et qui me pardonneront, parce que ça me reviendra quand je verrai la photo officielle...
Il fut caqueté en bonne et due forme... et parlé des absentes, de celles qui nous manquaient et qui le savent, de celles qui nous manquaient moins et qui ne le sauront sans doute jamais...
Des timides, des extraverties, des rigolotes, des mystérieuses... de belles rencontres, touchantes, une journée riche, éblouissante.
Vers 18 heures, nous prîmes congé, le métro qui pue et le train qui roule vite. Quarante minutes de Japonaise plus tard, je mettais mon nez dans les cheveux de mon bébé-fille, je chatouillais le bidou de mon grand garçon, j'emportais le tout à la maison et hop au lit, c'est que ça fatigue, la grande vie!
(Mais vive la campagne, quand même - surtout quand elle est à 1h24 de train de la capitale)