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7 novembre 2009 6 07 /11 /novembre /2009 21:37
C'est pas parce qu'on ne vous raconte rien qu'on ne fait rien. Je dirais presque, au contraire. Pendant que je ne feignasse pas à bloguer, c'est sûr, les autres travaillent le boulot avance plus vite.

La Fée est ravie de pouvoir participer au chantier... Zou, mission crépi (Murs d'Autrefois) du dressing pour la miss!



Pas folle la guêpe, j'ai choisi le plus simple et qui fait de jolis bras: une éponge, de la cire et des petits ronds pour l'étaler.



La suite très vite! (Parce qu'on avance bien!)






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29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 20:40
On a bien rigoulé, hier, avec cette histoire de G.R.O.G.. Je suis ravie que ça vous ait fait rigouler aussi. On est faits pour s'entendre, je le savais.

Un jour, BarbaLala allait mourir était enrhumé sévère, avec bobo partout et tutti quanti. Comme c'est un grand garçon il n'a pas appelé sa mère, mais il était quand même pas content content que j'aie oublié de refaire le stock de Fervex familial. Alors j'ai dit t'inquiète, moi aussi j'ai une mère, et moi je vais te faire un grog comme maman.




Pour un vrai grog de grand-mère, il faut

-de l'eau
-du thym
-de la sauge
-du miel
-de l'alcool (rhum, mirabelle, prune, calvados, cognac, armagnac,...)


Faire infuser du thym et de la sauge dans un demi-litre d'eau. Filtrer, sucrer au miel et chauffer à nouveau. Lorsque le thé frémit, ajouter un tiers d'alcool, et flamber. Servir et boire très chaud.

Après ingestion du truc, on est fin saoûl, donc on se rappelle plus qu'on est malade, on sue un maximum, on s'effondre et on se réveille en pleine forme...

On pourra pas dire que le trou de la Sécu, c'est les Papadoums!
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27 octobre 2009 2 27 /10 /octobre /2009 07:00
Une recette qui sent bon mon enfance, la tarte au riz est un grand classique de Belgique, apparemment méconnue dans le nord-est de la France (et ailleurs?)... La seule solution après l'importation licite, puisque les visites d'importateurs potentiels n'étant pas prévues ces jours-ci, c'était donc de la faire soi-même. Archi-simple et avec les fonds d'armoire, elle demande juste un peu d'attention pour la cuisson du riz...


 

Il vous faut:

- une boule de pâte sablée de 200 grammes
- 1 litre de lait
- 100 g de riz (rond, ou spécial dessert)
- 100 g de sucre
- 3 oeufs + 1

Allez zou, c'est parti.

Dans une casserole, on verse le lait, la gousse de vanille fendue en deux, et le riz, qu'on fait cuire selon les indications du paquet, en tournant tout le temps sinon ça attache. Juste, on a le droit d'étaler sa pâte à tarte dans le moule beurré et fariné. Même pas en rêve qu'on s'éloigne quelques instants, sinon les enfants se rameutent en hurlant alors qu'on est peinard en train de lire ELLE aux toilettes et c'est MAL. On tourne, donc. Quand c'est cuit, on ajoute le sucre, on tourne toujours, et on laisse encore cuire un peu le temps que le sucre fonde bien. On laisse refroidir un peu, puis on ajoute les jaunes d'oeufs en remuant vivement. On ajoute ensuite tout délicatement les blancs battus en neige.

On verse le tout sur le fond de tarte. On badigeonne la surface et la pâte d'oeuf battu pour donner la couleur dorée (facultatif). On enfourne 25 minutes à 200 degrés. Pendant ce temps, on lèche la casserole fait la vaisselle.

On laisse refroidir quleques instants avant de démouler. Pour obtenir le motif escragot typique, on retourne sur une grille avant de déposer sur un plat. On décore de sucre glace. On déguste tiède ou froid et on retombe en enfance...




(Si BarbaLala ne m'avait pas piqué un bout de pâte, j'aurais pas dû mettre des rustines.)


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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 07:00


Un enfant n'est pas l'autre...

Habitués très confortablement à des enfants sédentaires sans vélléités de liberté, les deux aînés ayant snobé copieusement le quatre-pattes, nous voilà tout esbaudis de voir la Demoiselle tenter de nous fausser compagnie pour aller au choix, vider un tiroir de culottes ou un panier de linge, voir un bac de jouets du Pirate... La technique n'est pas très au point et consiste plutôt à se tirer vers l'avant à la force des bras, mais c'est très rigolo.

Vous pouvez me dénoncer, sur les photos elle n'a pas de chaussettes. Ma fille est une va-nu-pieds convaincue. Là, c'est il y a quinze jours, quand il faisait encore doux... Maintenant, on envisage un bon rouleau de scotch pour lui faire des bretelles à chaussettes. "Et la solution collants?" j'entends dans le fond à droite. Han han, je rappelle que je uis une multipare aguerrie, et que j'en ai maté deux avant elle, hein. Les collants, elle tire dessus de toutes ses forces. Puis s'énerve. Les chaussures? hi hi hi... Faut aérer le frometon, pas vrai?

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16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 21:32
Bon, fini de causer sérieux, ici, ça donne mal à la tête. Et tout le monde sait que la migraine n'est plus une excuse valable depuis longtemps.

Nous allons donc nous pencher de manière très scientifique et testée in situ comme d'habitude sur le pourquoi du comment que bon sang qu'est ce que je voulais dire, moi, ah oui, qu'il y aune idée répandue selon lesquelles les femmes ayant enfanté ne fût-ce qu'une fois se mettent la honte toutes seules et s'illustrent généralement en greluche de service pour la plus grande hilarité de leurs congénères nullipares, ou de leurs maris... Quand elles n'inspirent pas un soupir qui tente désespérément de camoufler une pointe de pitié condescendante...

Non mais, vous pensez bien que la multipare que je suis a eu le temps d'étudier la question, hein.

Déjà, vu qu'il ne nous pousse pas un bras supplémentaire (ce qui serait ma foi fort utile) à chaque mise au monde, il faut bien que nous soyons partout à la fois.

Après, on s'étonne que ça bugge un peu, quand d'une main on touille dans la tambouille du soir, de l'autre on épluche des légumes bio pour le petit plat mitonné maison du lendemain pour la dernière née, que l'on berce du pied gauche dans son relax, pendant que le pied droit est occupé à jouer au foot avec le moyen. Le périnée se contracte en alternance avec les muscles fessiers, faut profiter de chaque moment disponible (sic) pour faire du sport. Quant aux yeux, ils vérifient le cahier du jour de la grande, la bouche lui dicte les mots de sa liste d'orthographe de la semaine, le cerveau fait la liste de courses, la liste de choses à faire, la liste de choses à ne pas oublier, et le nez... meeeeeeeerde ça a crâmé au fond!

Neurone, reviens ici, je n'ai pas fini de causer!

On s'étonne que ça bugge, disais-je. Le paragraphe ci-dessus ne relève absolument pas de la science-fiction, c'est du 100% vécu.

(Vous êtes sur un blog sérieux, que diable!)

Alors, je vous prie de vous associer à ma douleur, et présenter vos condoléances à feu mon neurone, décédé de surchauffe, achevé par deux fois par le Pirate en une semaine.


Samedi dans la voiture, premier acte de la tragédie:

-Maman, tu peux mettre "T'es plus mon chéri"?

TUUUUT TUUUUT TUUUUT Alerte rouge, neurone en surchauffe, tourne à 200 000 tours/seconde. Processeur crâmé, l'unité centrale parvient à articuler...

-Tu veux dire "Je ne t'aime plus" de Manu Chao?

Le sifflement admiratif de BarbaLala camoufle l'agonie lente mais sûre du neurone épuisé... La voix du Pirate de quatre ans qui accompagne le grand Manu lui sert d'oraison funèbre. "Je ne t'aime plus, mon amour... je ne t'aime plus, tous les jours..."


Hier matin, sept heures, petit déjeuner,  deuxième acte de la tragédie:

-La Fée, tu me chantes "Mini soleil"?
La Fée est en train de ranger son bol de cacao dans le lave-vaisselle. Les secondes s'égrènent, interminables. Feu mon neurone parvient juste à me faire articuler "Gné???" quand la Fée, superbe, entonne:
-"Minuit se lève, en haut des tours, les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd... La nuit camoufle, pour quelques heures, la zone sale et les épaves et la laideur..."

Je vais au boulot, on causera futures, collateral management et plain vanilla, ça me reposera le cerveau, tiens.

Et le premier qui me signale qu'une tragédie classique comporte trois actes va au piquet.


Ah, ça t'amuse, hein, d'achever ta pauvre mère!

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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 21:50
... et je souris.

Ca fait deux jours qu'il pleut. Que dans le sud, c'est encore l'été, quand nous allumons chaque soir en rentrant un bon feu dans la cheminée. Il fait encore chaud pour la saison, mais déjà si humide, après deux jours de pluie seulement.

Ce qui nous attend, c'est six mois d'hiver, avec son cortège de miasmes et de microbes, de nez qui coulent, de gorges qui piquent, de frissons... ok, j'arrête là, je vais pas déprimer tout le monde non plus.

Mais quand viendra la bête à mille pattes des journées sombres et froides, je sais à quoi je penserai.

Un peu grâce à vous, en fait. Parce qu'à force d'en parler et de promettre, il a bien fallu y aller.

Passé le quart d'heure de solitude de chargement de la voiture, ce fut que du bonheur. Une heure et demie de balade, quatre petits nez au vent, et c'est rien de le dire, parce que le retour fut duuuuuuur contre le vent, on avait l'impression de ne plus avancer. Une bonne dizaine de kilomètres le long de la Moselle, à l'heure bénie où on ne croise que des cyclistes et des rollers, pas encore d'enfants ni de mémères à chienchiens qui occupent toute la piste. Un Pirate en super forme qui m'a épatée, sa soeur à son âge était bien moins courageuse.

La Demoiselle, après quelques fous rires de voir son frère et sa soeur la dépasser en lui faisant coucou, s'est endormie comme une fleur. Nous sommes rentrés en sueur mais heureux, et pour tout avouer, j'ai encore un peu mal à des muscles inconnus à mon patrimoine jusqu'ici...




Et le repas du dimanche des familles a tout de même été préparé dans les règles de l'art - juste un peu en retard.

L'après-midi, hop in ze piscine, l'eau était à 27 degrés, c'était obligé. Pour la première fois, la Demoiselle a manifesté sans aucun doute possible son envie de faire elle aussi trempette et pas rien que les pieds comme elle en a l'habitude. Aussitôt compris, aussitôt déshabillée pour un plouf inattendu, elle a adoré (beaucoup plus que cet été quand la différence entre la température extérieure et celle de l'eau était plus grande, on ne lui proposait même plus trop depuis un moment). Et plicth par ci, et platch par là...



Le soir, avant de rebâcher pour la semaine (où, raisonnablement, l'envie de nous baigner ne nous prend plus trop), BarbaLala et moi n'avons pas résisté au plaisir de plonger encore une fois pour quelques longueurs...

Alors, qui a dit qu'on se ramollissait de la fesse, ici, hein???



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4 octobre 2009 7 04 /10 /octobre /2009 07:00
... sont pas là pour me serrer la pince.

Le dimanche matin, BarbaLala s'en va jouer de la clarinette. Avant, avec les Petits Papadoums, on allait soit à la pistache (à trente kilomètres d'ici, pour rappel), soit faire du vélo/roller sur les bords de la Moselle.

Bon, on a ramolli de la fesse, puisqu'il est assez peu probable qu'on soit dans NOTRE piscine à l'heure où je vous parle.

Ca c'est pour quand on aura repris de bonnes habitudes, vers 2034, en gros.

Le coup de la Moselle, ça craint un peu aussi, parce que 2 vélos + une méga poussette + rollers dans ma Japonaise, ça me fatigue d'avance, surtout quand c'est l'heure de la sieste de la miss. Quoique, rien que de l'écrire, j'en ai envie, c'est malin. Bon, c'est aussi à trente kilomètres de la maison, hein, rien n'est parfait en ce bas monde. Pis faut se dire que c'est le dernier dimanche de beau temps avant... hou, tout ça au moins. Et que si je sors pas la marmaille, j'ai pas d'excuse valable pour que le repassage et un bon repas de dimanche des familles ne soient pas faits. Et avec un peu de chance je vous ramène des zolies photos.

Comment que je me motive, moi.

(Tout le monde aura compris qu'il est samedi soir taaaaard à l'heure où j'écris, pour les curieuses qui lancent des ersatz de tags et qui veulent savoir comment on blogue: n'importe quand, n'importe où, c'est à dire quand je peux aligner trois pensées digressives sans être interrompue parce que je ne m'y retrouverais même pas moi-même, quand mon esprit peut vagabonder à son aise sur un fil vaguement directeur, et toujours en live sur OB, quand j'en ai envie, quand j'en ai besoin, mais le plus souvent vautrée sur canaprout mit couverture en polaire blanche - c'est bon, c'est assez précis? Souvent, vu qu'il est tard quand j'accouche de mes phrases à rallonges et à tiroirs, je les programme pour le lendemain matin 7 heures, pile poil pour le ptit dej des blogaddicts... histoire peut-être d'avoir encore le temps de changer d'avis pendant la nuit? Sinon, des idées, j'en ai cent douze mille par jour, que je ne note pas, et j'en oublie à peu près cent onze mille neuf cent quatre-vingt dix, je me rappelle d'une dizaine, et j'ai le temps d'en écrire une demi, voire moins...)

Comment je me mets pas dans le caca.

Parce que je vous connais, après vous allez vouloir tout savoir, si j'ai tenu mes promesses, toussa.

Si les vélos rentrent dans la Jap', on y pensera, hein.

(Je sais plus où sont mes rollers.)

Alors qu'en fait, je voulais juste vous montrer ça.





Ca, c'est le bonheur. Pur et simple comme quelques notes de Mozart, le soir, avant de filer au bain.




Bon, comme tout gros effort commence par un bon dodo, .... flitz, je suis plus là.


Et vous, vous faites quoi le dimanche matin?



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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 07:00
Nous nous en fûmes donc, la Fée et moi, prendre le tégévé qui roule fissa de très bonne heure samedi. Pas très très longtemps après, il me fut donné de rencontrer deux êtres aussi blonds qu'adorables, rencontre que j'attendais depuis longtemps avec impatience.



Kouign Amann et sa Jolie Maman

Quelques heures qui ont filé comme des secondes...
Dans la vraie vie, Marjoliemaman avec petit bidon tout rond, c'est un mètre soixante d'énergie (faut la voir porter la poussette avec KA dedans dans les escaliers du métro!), de gentillesse, de tendresse, d'attention, de sourire et d'humour. Prends soin de vous, Marjo.

Un peu plus tard, je faisais la connaissance de Sandra qui avait organisé l'événement, qui au-delà de la photo officielle nous a donné une occasion en or de rnecontrer ces visages qui se cachent derrière ces blogs qu'on aime...

Puis, j'entendis un genre de cri dans mon dos: "Roxaaaaaaane!!!" Et là une espèce de tornade est entrée dans ma vie...


Dgina, et son appareil photo

Elle parle, elle court, elle saute, elle se vautre pour prendre des photos uniques, elle se donne, elle rit, elle défie la terre entière, elle doute, elle assume, elle tempête, elle sourit, elle s'attendrit... mais reste toujours sauvage. Tu sais ce que tu as à faire dans les prochains mois, ma grande...

Après, il eut Manu, que j'ai adorée autant que son blog et qui nous a avoué officiellement avoir douze ans dans sa tête, Sonia qui sait pas lire l'heure (surtout sur les horloges des gares), Lily et sa surprise, Carole que j'apprends à connaître depuis une semaine car elle m'a envoyé sa Journée des Villes, Martine évidemment, Angelea discrète et mystérieuse, Kat et ses yeux qui pétillent (Mary, elle m'a bien fait ton message, tu peux dormir tranquille!), et puis plein d'autres dont j'ai oublié le prénom, là, comme ça, et qui me pardonneront, parce que ça me reviendra quand je verrai la photo officielle...

Il fut caqueté en bonne et due forme... et parlé des absentes, de celles qui nous manquaient et qui le savent, de celles qui  nous manquaient moins et qui ne le sauront sans doute jamais...

Des timides, des extraverties, des rigolotes, des mystérieuses... de belles rencontres, touchantes, une journée riche, éblouissante.

Vers 18 heures, nous prîmes congé, le métro qui pue et le train qui roule vite. Quarante minutes de Japonaise plus tard, je mettais mon nez dans les cheveux de mon bébé-fille, je chatouillais le bidou de mon grand garçon, j'emportais le tout à la maison et hop au lit, c'est que ça fatigue, la grande vie!




(Mais vive la campagne, quand même - surtout quand elle est à 1h24 de train de la capitale)





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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 17:14
Z'allez tout de même pas croire que je vais vous raconter?! Pas question, je vous rappelle qu'à ses heures perdues, BarbaLala lit ce bloug... ce qui s'est dit restera dans le secret des murs bicentenaires de ma maison...

Le thème de la soirée était bien sûr le rose! Nous étions dix filles si on compte la Demoiselle, et deux intrus, le Pirate et un autre un peu plus grand qu'on n'allait tout de même pas laisser tout seul à la maison. La palme d'or est revenue à Sylvie qui est venue avec un chemisier rose et des lunettes de soleil pink sooo chic.

Le menu, donc!

Apéritif: cocktail martini rosato + jus de grenade
            verrines de concombres + tomates + scampi par dessus

Entrée: saumon fumé en fleur (suffit de rouler, d'attacher avec un brin de ciboulette en bas et de replier le dessus vers l'extérieur), mini tomate coupée en fleur sur lit de roquette, crevettes grises, j'avais oublié les radis, mini-blini au tarama, y avait encore un truc mais je sais plus...

Plat: tagliatelles noires et blanches aux fruits de mer, sauce rose

Dessert: tiramsisu aux biscuits roses de Reims parfumés à la liqueur de litchi, champagne rosé

Puis, ahem, moelleux au chocolat, tarte au fromage, tarte aux mirabelles apportés par mes convives!

Et pas de photo parce que j'allais pas embêter tout le monde non plus. Si quelqu'un veut une recette, il réclame, tiens pour ça je vous fais confiance, je sais pas pourquoi...


Pour l'anecdote, les hommes sont rentrés de leur marche forcée séjour dans les Vosges avec mal partout et des petits yeux... Z'ont moins bien mangé que nous apparemment...



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22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 12:00


Un vilain crépi a fait place à un joli mur de pierres authentique presque bicentenaire, que Barbalala a reconstitué pour la partie supérieure avec beaucoup de courage et d'acharnement, avec les pierres que nous avions gardées quand nous l'avions démonté il y a quelques années pour poser le plancher de l'étage supérieur. Il ne reste "plus qu'à" le rejointoyer tout proprement...




Un petit coup de propre sur la poutre d'époque elle aussi, sur laquelle nous avons encastré le nouveau plancher (ici, le plafond, puisque vu d'en dessous).







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  • : Les Tribulations de la Famille Papadoum
  • : La vie à la campagne, c'est pas toujours de tout repos. Chez les Papadoums, il se passe toujours quelque chose.
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